Normalité
Durkheim définit la normalité comme une sorte de moyenne spécifique à une population donnée. Il existe autant de normalité que de populations.
Normes
Normes et valeurs : les normes impliquent l’existence de principes plus généraux en mesure de légitimer leurs prescriptions et leurs interdits. C’est à ses principes qu’on tend à donner le nom de valeurs.
Nursk
Les problèmes de la formation du capital dans les pays sous développé, 1953.
Père fondateur de l’économie du développement. Les pays pauvres ne disposent pas d’assez d’épargne pour financer l’investissement.
"Les pays pauvres sont pauvres car ils sont pauvres". Cercle vicieux.
Père fondateur de l’économie du développement. Les pays pauvres ne disposent pas d’assez d’épargne pour financer l’investissement.
"Les pays pauvres sont pauvres car ils sont pauvres". Cercle vicieux.
Occam (le rasoir d’)
"On ne doit pas admettre plus d’entités (hypothèse) que ce qu’il est absolument nécessaire". Entre deux modèles ayant même résultat on choisira celui qui a le moins d’hypothèse.
Opérations de change
Les transactions sur les changes étaient 50 à 60 fois supérieures aux opérations de commerce international. En 2004, le montant total des réserves de chaque des banques centrales étaient de 1900 milliards de dollars. Les cours du change (prix de chaque devise exprimés en unités d’une autre devise) se déterminent sur les marchés des changes.
Stratégie de spéculation : consiste à rester en position de change ouverte afin de tirer profit d’une évolution favorable des cours du change.
Stratégie d’arbitrage : consiste à jouer sur les différents cours sur des marchés différemment. Il n’y pas de risque mais ces possibilités sont dues à des erreurs de fonctionnement des marchés financiers.
Le marché des opérations de change au comptant : se dénouent dans les deux jours ouvrables qui suivent leur conclusion.
Le marché des opérations de change à terme : on fixe aujourd’hui les conditions d’une opération qui ne donnera lieu à un règlement qu’à une échéance ultérieure. Peut être utilisée comme un instrument de couverture face au risque.
Si le cours à terme et le cours au comptant sont identiques on dit que le terme est à parité. Si comptant supérieur à terme alors la devise est en déport. Si comptant inférieur à terme alors la devise est en report.
Le marché des « contrats futurs » : vendre ou acheter à un prix fixé à l’avance. Marché de gré à gré : connaît un très vif succès. On peut donc acheter ou vendre une option d’achat (call) et acheter ou vendre une option de vente (put). Pour l’acheteur de l’option, le risque de perte est limité (paiement de la prime) et le risque de gain est illimité. Au contraire pour le vendeur, le risque de gain est limité (encaissement de la prime) et le risque de perte est illimité.
Stratégie de spéculation : consiste à rester en position de change ouverte afin de tirer profit d’une évolution favorable des cours du change.
Stratégie d’arbitrage : consiste à jouer sur les différents cours sur des marchés différemment. Il n’y pas de risque mais ces possibilités sont dues à des erreurs de fonctionnement des marchés financiers.
Le marché des opérations de change au comptant : se dénouent dans les deux jours ouvrables qui suivent leur conclusion.
Le marché des opérations de change à terme : on fixe aujourd’hui les conditions d’une opération qui ne donnera lieu à un règlement qu’à une échéance ultérieure. Peut être utilisée comme un instrument de couverture face au risque.
Si le cours à terme et le cours au comptant sont identiques on dit que le terme est à parité. Si comptant supérieur à terme alors la devise est en déport. Si comptant inférieur à terme alors la devise est en report.
Le marché des « contrats futurs » : vendre ou acheter à un prix fixé à l’avance. Marché de gré à gré : connaît un très vif succès. On peut donc acheter ou vendre une option d’achat (call) et acheter ou vendre une option de vente (put). Pour l’acheteur de l’option, le risque de perte est limité (paiement de la prime) et le risque de gain est illimité. Au contraire pour le vendeur, le risque de gain est limité (encaissement de la prime) et le risque de perte est illimité.
Organisation sociale
Définition : l’organisation sociale est l’arrangement global de tous les éléments qui servent à structurer l’action sociale, en une totalité présentant une image, une figure particulière, différente de ses parties composantes et différent aussi un autre arrangement possible.
Comment penser l’organisation sociale ?
Comment penser l’organisation sociale ?