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Les flux d’investissement cumulés sur les 3 derniers mois (à fin février) ont montré de grandes différences régionales, ce qui reflète en partie le contexte politique de ce début d’année.
Flux actions dans les marchés émergents
Toutes les grandes catégories de fonds en obligations européennes ont enregistré une décollecte sur trois mois, à l’exception notoire des fonds High Yield. Les fonds en obligations américaines ont mieux résisté que ceux investis sur l’Europe, ce qui nous conforte dans notre préférence relative pour les obligations US de grande qualité. Les Bons du Trésor américain n’ont souffert que d’une décollecte marginale, alors que les obligations d’entreprises ont bénéficié de souscriptions nettes, soutenues par un environnement de marché plus favorable au risque depuis le début de l’année.
Une dépréciation du dollar américain et de bonnes surprises sur le plan macroéconomique ont permis le retour en grâce des fonds de dette émergente : la décollecte de la fin d’année 2016 a fait place à une collecte positive depuis le début de l’année. En ce sens, l’évolution des flux obligataires traduit la même préférence des investisseurs que celle qui prévaut pour les flux actions dans les marchés émergents.
A propos de l'auteur : Witold Bahrke est stratégiste chez Nordea Asset Management.
Une dépréciation du dollar américain et de bonnes surprises sur le plan macroéconomique ont permis le retour en grâce des fonds de dette émergente : la décollecte de la fin d’année 2016 a fait place à une collecte positive depuis le début de l’année. En ce sens, l’évolution des flux obligataires traduit la même préférence des investisseurs que celle qui prévaut pour les flux actions dans les marchés émergents.
A propos de l'auteur : Witold Bahrke est stratégiste chez Nordea Asset Management.