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A l’occasion de la publication des chiffres sur l’évolution du marché mondial du vin par l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin (OIV), Economie et société fait le point sur les nouvelles tendances d'un marché en forte croissance. Selon Jacques-Olivier Pesme, directeur de la Wine & Spirits Academy de Kedge, le marché mondial du vin se caractérise par les éléments suivants :
La France conserve un avantage comparatif
De plus en plus de personnes consomment du vin à travers le monde, notamment avec la confirmation de l'importance d’une nouvelle catégorie de consommateurs : les consommateurs occasionnels.
On retrouve ces nouveaux consommateurs un peu partout dans le monde en raison d’un nombre croissant de pays producteurs. De moins de quarante pays il y a 50 ans, on en dénombre près d’une centaine aujourd’hui, même si certains restent de petits pays producteurs localisés sous des latitudes où la vigne ne se cultivait traditionnellement pas :sous des latitudes septentrionales comme le Canada, en raison du réchauffement climatique, mais également dans des régions chaudes qui peuvent bénéficier de conditions micro climatiques particulières comme en Asie du Sud-Est ou en Afrique...
Les consommateurs privilégient la consommation domestique, mais ils s’intéressent aussi à la production d’autres pays. Cela explique l’essor du commerce mondial du vin.
Déjà présente dans plusieurs pays producteurs à travers ses investissements dans des propriétés viticoles, la Chine est appelée à devenir un producteur majeur de vin, d’abord sur son marché domestique mais aussi sur le marché international
La France conserve un avantage comparatif fort sur le marché pour la qualité de sa production et demeure dans le trio de tête des pays leaders du secteur, tout en étant N°1 en valeur. En accompagnant des régions à fort potentiel dans le développement de leurs vignobles, la France se crée des opportunités de marché pour le futur.
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