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PME : 33 % d'augmentation du chiffre d'affaires grâce au web
Sur les trois premiers mois de l’année, le chiffre d'affaires réalisé par les commerçants sur Internet a atteint 11 milliards d'euros, soit une hausse de 24 % par rapport à 2011. Même tendance aux États-Unis où, selon le cabinet ComScore, le commerce électronique a enregistré 44,28 milliards de dollars de vente, soit un bond de 17% sur un an.
Un panier moyen de 89 euros

Comme le montre les chiffres publiés par la Fédération e-commerce et vente à distance (Fevad), cette croissance se traduit par une hausse du nombre d'acheteurs sur le Web et par une augmentation du nombre de sites disponibles. En 2012, on compte 31 millions de consommateurs sur Internet, soit une hausse de 11 % par rapport à 2011. Quant au nombre de sites, il a progressé de 18 800 au premier trimestre 2011 pour atteindre 104 100.
Le seul chiffre inquiétant est la baisse de 4 % du panier moyen à 89 euros. Il s'agit du plus bas niveau enregistré depuis 2009. Mais rien de grave puisque ce recul est plus que compensé par la fréquence des achats. Chaque cyberconsommateur a réalisé, en moyenne, cinq achats au cours du premier trimestre, contre 4,4 un an auparavant. Au final, le secteur Internet a su profiter de la crise pour mettre en avant son côté "low-cost". "Le e-commerce sert toujours, et plus que jamais en période de crise, à chercher les bonnes affaires, et ce de plus en plus souvent", précise Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.
Le seul chiffre inquiétant est la baisse de 4 % du panier moyen à 89 euros. Il s'agit du plus bas niveau enregistré depuis 2009. Mais rien de grave puisque ce recul est plus que compensé par la fréquence des achats. Chaque cyberconsommateur a réalisé, en moyenne, cinq achats au cours du premier trimestre, contre 4,4 un an auparavant. Au final, le secteur Internet a su profiter de la crise pour mettre en avant son côté "low-cost". "Le e-commerce sert toujours, et plus que jamais en période de crise, à chercher les bonnes affaires, et ce de plus en plus souvent", précise Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.