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Selon l’étude menée par le Comité de Bâle de supervision bancaire auprès de 102 banques internationales, ces dernières auront besoin de 374,1 milliards d'euros pour se conformer aux normes bancaires de Bâle III régissant les fonds propres.
Un manque de 1 800 milliards d'euros

Elle simulait une mise en place des nouvelles normes bancaires au 31 décembre 2011, prévoyant des fonds propres durs (capital social et bénéfices mis en réserve) égaux à au moins 7% de leurs engagements. Pour 29 banques systémiques, c'est-à-dire celles dont la faillite menacerait l'ensemble du secteur, les régulateurs sont allés plus loin. Ils leur ont imposé des ratios de fonds propres durs encore plus élevés, soit de 1 à 2,5 points supplémentaires par rapport aux exigences de base.
Comparé à la précédente étude de juin 2011, le manque à gagner des établissements interrogés s'est réduit de 111,5 milliards d'euros, soit près de 23 %. Les régulateurs ont également analysé le ratio d'endettement, qui ressort à 3,5 %. Ils ont par ailleurs sondé les niveaux de liquidités de 209 banques, faisant état d'un manque de 1 800 milliards d'euros pour ces établissements. Le niveau de liquidités s'est cependant amélioré comparé à la précédente étude de juin 2011, qui faisait état d'un trou de 2 780 milliards d'euros. Les régulateurs du secteur bancaire ont imposé en 2010 à tous les établissements des ratios de fonds propres durs d'un minimum de 7%, afin de les rendre plus résistants à d'éventuelles crises.
Comparé à la précédente étude de juin 2011, le manque à gagner des établissements interrogés s'est réduit de 111,5 milliards d'euros, soit près de 23 %. Les régulateurs ont également analysé le ratio d'endettement, qui ressort à 3,5 %. Ils ont par ailleurs sondé les niveaux de liquidités de 209 banques, faisant état d'un manque de 1 800 milliards d'euros pour ces établissements. Le niveau de liquidités s'est cependant amélioré comparé à la précédente étude de juin 2011, qui faisait état d'un trou de 2 780 milliards d'euros. Les régulateurs du secteur bancaire ont imposé en 2010 à tous les établissements des ratios de fonds propres durs d'un minimum de 7%, afin de les rendre plus résistants à d'éventuelles crises.